"Pour que les animaux poussent aussi bien et aussi vite qu'un mur de parpaings, il faut les doper un peu, beaucoup, énormément. L'industrie pharmaceutique adore les piqûres d'antibiotiques et d'hormones dans la chair des bestioles. Mais c'est pour notre bien."
"On peut améliorer le rendement des productions animales en augmentant la vitesse de croissance des animaux au moyen d'hormones (naturelles ou synthétiques) qui se lient à des récepteurs spécifiques dans les tissus ciblés ou par l'ajout à la ration de composés antimicrobiens qui modifient la microflore intestinale des animaux en bonne santé, ce qui améliore leur perfomance."
Extraits de Bidoche, Fabrice Niccolino
Tout celà parait bien appétissant. En plus de les traiter de façon abominable, on les dénature. La vache n'est plus une vache en tant que tel, le porc et le poulet non plus.
Anotation: Reprendre une idée simple, celle de la vache pointillée (prédécoupage pour la boucherie), puis dénaturée par les composants ajoutés (dans les systèmes de production industrielle) pour qu'elle s'engraisse, résiste aux maladies, produise plus... pour devenir une vache génétiqument modifiée.